Cas d’école

Chaque mois, retrouvez ici un cas pratique illustrant le fonctionnement et la richesse de  la Psychologie Biodynamique.

Yvonne n’a plus besoin d’anti-dépresseurs

Lors d’un stage de formation auquel elle participe, une psychologue de grande expérience, ayant une activité professionnelle créative et reconnue, exprime qu’elle est en dépression depuis plus d’un an. Elle n’a plus ni goût pour son travail ni d’élan dans sa vie. Elle est fortement impliquée dans des actions sociales et est mariée avec un homme qu’elle aime.

Les orteils de Serge sont la clé

Serge est ingénieur. Il vient consulter parce que depuis deux ans, après la mort de sa mère, il a des symptômes corporels chaotiques pour lesquels les médecins n’ont pas d’explication….

Henri et la danse des sphères

Henri a une vie sans couleurs. Il est mécontent de sa vie personnelle et de son travail, qu’il trouve ennuyeux. Après quelques mois de thérapie, il exprime qu’il se sent sans désir, sans impulsions.

Josiane trouve son gorille

Josiane trouve son gorille Au cours d’une séance, Josiane, jeune femme menue, se plaint de se sentir envahie, surtout par le regard des hommes. Elle a du mal à s’affirmer, que ce soit dans les rapports hiérarchiques au travail, avec les collègues ou dans ses...

Olivia découvre que sa mère ne l’a jamais aimée

Olivia est une agréable et jolie jeune femme de 32 ans. Elle a de grandes difficultés avec ses relations amoureuses, qui sont souvent courtes et douloureuses. Et elle constate combien, dès qu’un homme lui démontre le moindre signal de tendresse, elle se sent dépendante de sa présence.

Deuil et vie, les règles de Silvia reviennent

Dans un groupe de formation pour des thérapeutes psychocorporels à l’étranger, Silvia, une jeune thérapeute de 28 ans, signale qu’elle n’a plus ses règles depuis deux ans et demande si la psychologie biodynamique a des réponses à cela.

Boris ne la laissera pas tomber

Boris, un homme très costaud, vient parce que sa femme le bat. Peu de temps auparavant, elle lui a planté une fourchette dans le bras. Il est stupéfiant de voir cette montagne de muscles se laisser frapper par sa femme sans savoir réagir. En explorant son histoire, il apparaît que son père, lorsqu’il avait bu, frappait sa mère qui se plaignait en pleurant auprès de Boris.

Claudette s’envole

Claudette se plaint de ne plus supporter son mari. Cependant, ils se sont séparés trois mois, et elle se sentait abandonnée. Alors elle est revenue, et elle s’aperçoit que son état de mal-être est le même, qu’elle soit avec lui ou sans lui. Elle ne sait pas quelle situation lui conviendrait.

Émilie apprend à taper du poing

Émilie, une dame proche de la retraite, a des problèmes relationnels dans l’association où elle travaille et s’est investie. C’est une femme douce, au regard tendre, qui parle avec une voix menue. Lors de sa première séance, elle parle aussi de sa périarthrite de l’épaule gauche, qu’elle ne peut bouger qu’avec difficulté, car elle est très douloureuse. Depuis deux ans, on lui a prescrit de la cortisone, de l’acupuncture et de la mésothérapie, mais rien n’y a fait.

Josée voit double

Josée vient voir un thérapeute biodynamique parce qu’elle se sent devenir folle. Elle a de la tachycardie, une angoisse terrible au plexus et à la gorge, son regard commence à se dédoubler et elle sent comme si le sommet de son crâne voulait éclater. Elle explique qu’elle suit un traitement qui consiste à rouler son dos sur des balles de tennis car elle a mal dans la région lombaire.

Héloïse retrouve son potentiel

Héloïse vient consulter car elle ne peut presque plus rien faire. Elle arrive difficilement à marcher, le corps vrillé, l’épaule gauche enroulée et la jambe gauche traînante. Elle travaille dans la publicité, mais est en arrêt maladie.

Hugo a du mal à suspendre les rideaux

Au fil d’un travail thérapeutique, Hugo est invité à prendre conscience de la mobilité de son corps. Il remarque qu’il a du mal à lever les bras. Il se souvient qu’effectivement, une fois où il devait aider sa femme à accrocher des rideaux, il avait trouvé particulièrement pénible de rester les bras en l’air plus de quelques minutes.

Hubert crée un atelier collectif

Lorsque les mémoires douloureuses ressurgissent à la conscience, elles s’évacuent du corps. Elles laissent alors la place pour que le bien-être vienne s’installer.

Bernie fait la bouteille

Le dilemme que Bernie a subi le fœtus. Ou je survis, en sacrifiant mon expansion insouciante, ou je meurs dans cet utérus non contenant.

Karin retrouve ses mains

Dans un groupe de formation, le thérapeute propose de démontrer comment amplifier la respiration. Karin se propose pour la démonstration.

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